TRANSFORMER NOS CROYANCES PARASITES EN CROYANCES POSITIVES

Notre vie est le résultat de nos croyances et nos valeurs, influencent nos comportements, créent notre réalité.


Comprendre comment fonctionne notre cerveau : qui est aux commandes de notre cerveau ?

Notre cerveau est comme la tour Eiffel avec des signaux conscients et inconscients.

INCONSCIENT = Tour EIFFEL= émotions +peurs +croyances +valeurs

Tous mécanismes inconscients nous manipulent tant qu’ils ne sont pas conscientisés. 

L’inconscient (ou le système limbique ou le thalamus) : gardien de nos souvenirs. Stocké dans le lobe frontal gauche. 

Le conscient : le sucre au pied de la TOUR Eiffel 

Le lien entre l’inconscient et subconscient est le cortex pariétal qui fonctionne avec les sensations

Nos pensées génèrent des émotions, influencent nos comportements et nos résultats, nos croyances et nos valeurs

Mes résultats me renseignent sur mon inconscient. Mon inconscient est le reflet de mes résultats dans ma vie. Mes résultats me permettent de voir si mon intention est bonne, si je suis sur le bon chemin.

Nos pensées : viennent de ce que nous avons VAKOG entre 3-7 ans en fonction des situations de vie générant des émotions et pouvant devenir des croyances. Le mental fonctionne avec des mots.

L’inconscient 

Les émotions : 

L’émotion est donc une réaction psychosomatique : conflit entre le thalamus et hypothalamus. L’émotion c’est le cerveau limbique. Les émotions surtout limitantes viennent de nos peurs. Quand les émotions n’ont pas été libérées, elles vont se bloquer avec le subconscient. 

Les peurs :

Nos choix sont orientés par nos peurs et non nos besoins : répondre à ses besoins permet de diminuer ses peurs.

Le triangle vital PBD

Derrière une peur se cache un désir et pour éviter que la peur tourne en spirale avec le désir, il est nécessaire de trouver le besoin.

 Le triangle PBD ne se situe pas sur le même plan :

Peur : émotion. Ce n’est pas la peur qui nous bloque mais son objet et sa manifestation.

Besoin : nécessite différents ordres (physique, affectif, physiologique, relationnel : pyramide de Maslow). Il est nécessaire, fondamental à l’épanouissement de l’individu. Si non satisfait, il crée une peur

Désir : transformation de la pulsion dans une recherche de satisfaction 

Le besoin c’est comme l’essence d’une voiture/la valeur la pièce de la voiture : ceinture de sécurité par exemple.

Conclusion

Derrière les blocages, il y a des peurs. Tant que nos peurs ne sont pas reconnues, elles restent inconscientes et nous bloquent. Une bonne synergie entre PBD offre une dynamique intérieure propre à l’action et l’expression de soi. Leur équilibre assure une juste redistribution de l’énergie de vie

Nos besoins fondamentaux doivent être satisfaits sinon nous devons prendre notre énergie à l’extérieur.

L’énergie vitale est un mouvement, 1 élan. Quand elle est à notre service, nous pouvons nous dépasser, dépasser nos peurs et agir.

Les 8 piliers qui amènent les peurs : ou piliers toxiques : 

Injonction négative : que vous vous répétez ou que les autres vous répètes

  • Culpabilisation

  • Menace

  • Chantage

  • Victimisation

  • Comparaison

  • Déresponsabilisation

Vous prendrez conscience ainsi de la violence de certaines relations dans le passé ou maintenant. A partir des valeurs et des croyances que vous entreteniez, vous pouvez commencer à faire un travail sur ces curseurs :

  • Quelles sont les valeurs à me faire respecter, les limites à donner. Quelles sont les croyances que je dois modifier pour changer le repère de ces 8 curseurs.



Les croyances : GPS qui dirige notre vie 

  • C’est tout ce que vous avez vu

  • C’est tout ce que vous avez ressenti

Par rapport à certaines situations 

  • C’est une sorte d’électromagnétisme car nous réagissons à une situation qui va générer des émotions+ ou – stressante.

  • Cela se mélange aux sentiments (pensées + émotions). Ce qui est perçu est interprété avec des conclusions hâtives générant une croyance.

  • Elles ne sont pas toujours conscientes

  • Elles conditionnent et organisent notre vision du monde

  • Il existe des croyances limitantes et des croyances identitaires qui fait que nous avons des schémas de vie répétitifs, des histoires récurrentes qui se reproduisent, des croyances parentales ou identification parentale.



Les valeurs 

Filtres inconscients utilisés pour décider de quels fragments nous allons laisser entrer ou non pour prendre des décisions dans notre vie. Elles nous motivent 

Les valeurs agissent sur 

  • Nos comportements et ceux des autres

  • Notre motivation et notre démotivation 

  • Nos actions

  • Notre vie, la guide à travers le SRAA 

Les valeurs ne sont pas modifiables mais hiérarchisables (alors que les croyances sont modifiables)



Le subconscient : les images, la respiration, cerveau reptilien

Notre subconscient : n’a pas de limite, il accepte tout et enregistre tout quand le mental est au repos. Ne comprend pas la négation.

1/ a besoin d’être orienté, de but, d’objectif car s’il n’en a pas c’est lui qui nous dirige, il va lui-même aller dans sa base de données choisir un objectif qui a déjà été réalisé avec 3 facteurs essentiels : la routine favorisant le côté agréable, sans danger, sans peur. Il choisit l’objectif sécurité-plaisir-routine automatisme

2/ ne sait pas traiter le négatif, les pensées, les émotions négatives, il ne fait pas la différence donc attention d’utiliser les mots positifs

3/ se comporte comme un être moral donc comme un robot : il ne voit pas le vis, les choses cachées, il prend tout au 1er degré.

4/ c’est une machine à apprendre. La visualisation est importante

Le subconscient est présent dans chaque cellule dans notre corps car il est responsable de tous nos réflexes physiologiques, des automatismes du corps. 

S’il y a des désordres dans le corps, c’est le thalamus donc l’inconscient qui a refoulé dans hypothalamus (subconscient) qui reproduit l’émotion négative que le thalamus a empêché d’atteindre le cortex conscient pour éviter que le conscient soit submergé.

Nous sommes tous reliées par notre subconscient donc il existe un subconscient collectif.

Chaque fois que nous éprouvons une émotion, une sensation, qu’est ce qui se passe ?

Nous nous connectons aux personnes qui émettent le mêmes émotions et sensations. Cela crée une forme de pensée ou égrégore. C’est comme se connecter à une fréquence radio. Personne n’est fautif, c’est à nous de choisir des fréquences hautes.

Exercice pour stimuler positivement notre subconscient

Quelles sont les magnifiques opportunités qui vont s’offrir à moi toute la semaine ?

Quel vœu, quel miracle l’univers aura exaucé pendant la nuit ?

Le système d’activation réticulaire (SAR) : qu’est-ce que c’est ?

Qui connaît le système d’activation réticulaire – ou le SAR ?  Ce n’est pas quelque chose de très connu, à moins de s’intéresser aux neurosciences. Pourtant, il gagnerait à être plus connu, car il a un pouvoir incroyable sur notre bien-être et notre bonheur. Et comment le mettre à notre service, au quotidien, pour améliorer notre qualité de vie et atteindre tes objectifs ?

En fait, le SAR est comme un intermédiaire entre notre subconscient et nos croyances, nos pensées, nos désirs.

Chaque jour, nous recevons des millions d’informations (cognitives, visuelles, sensorielles, olfactives, émotionnelles, etc.). Le SAR est comme une sorte de gardien, à l’entrée de notre cerveau, qui va filtrer ces informations de l’extérieur pour ne garder que celles qui nous intéressent et supprime des infirmations estimées inutiles.

Et c’est indispensable car le cerveau traite plus de 400 millions d’éléments d’information à la seconde dont seulement 2000 consciemment.

La responsabilité d’apporter à notre conscience ce qui est important pour nous. Et ce qui est important pour nous, c’est nous qui le décidons. Elles sont en lien direct avec nos croyances, nos intérêts, notre vécu, etc. Il influe directement sur notre système de croyances.

C’est comme un moteur de recherche dans la tête. Notre Google interne porte le nom poétique de SRA ou Système Réticulé Activateur. Il se situe dans le tronc cérébral. Ce système agit comme un assistant qui vous passe les dossiers que vous lui demandez ou encore comme un moteur de recherche dans lequel vous auriez tapé ce qui vous intéresse, ce qui vous préoccupe. Sert à filtrer les perceptions dans notre environnement. 

Une cellule change tous les 21 jours- il faut donc 21 jours pour assimiler une info.

Il faut néanmoins entre 48h et 4 jours pour dresser son cerveau sinon le subconscient prend le dessus et on retient que ce que l’on ne fait pas= blocage.

Le point aveugle : exemple : une personne gagne 3000€ par mois/elle confirme à son point aveugle qu’elle gagne 3000€- toutes les opportunités qui lui permettent de gagner plus, elle ne les voit pas. Cela n’est pas un problème de croyance mais un problème de valeur que la personne n’a pas élargie dans son champ d’info.

Il est important d’avoir une idée claire de ce que l’on veut et où on veut aller.

L’Utilisation de certains mots est importante car les « ne pas, je n’y arrive pas, je ne sais pas, tu n’écoutes pas, sont validés par le SRAA et donc ne procure pas d’accès à la réussite. Toutes les futures occasions possibles d’avoir dans notre vie vont disparaître de notre vue car le SRAA se réaligne avec les mots utilisés.

Nos croyances peuvent nous empêcher d’atteindre nos objectifs mais pas nécessairement en nous sabotant mais parce que les possibilités vont sortir de notre champ de vision avec le SRAA.

SRAA préserve notre santé physique, mentale 

C’est une antenne : capte à travers nos 5 sens ce qui est inscrit dans notre cerveau. Il faut que des infos du cerveau répondent au moins à 1 des 3 critères suivants : 

1/ pour notre survie : personne qui peut nous aider ou nous perturber donc à écarter du champ d’info

2/cela doit avoir un caractère nouveau : actualiser ses objectifs, ses valeurs et les lire

3/ ces infos doivent avoir un contenu émotionnel élevé

Si ces 3 paramètres sont respectés, les infos vont être percutées mais si les stimuli sont en dessous du SRAA, vous ne les verrez pas.

Quel est l’impact du SAR sur nous ?

Le SAR cherche en permanence, dans la réalité, ce qui nous fait réagir. Que ce soit positivement ou négativement. Il cherche tout ce qui génère de l’émotion :

  • Un coucher de soleil, un conflit, une rencontre, etc.

Toutes les émotions que nous vivons de façon intense seront jugées comme importantes. Elles donneront l’information au SAR de nous mettre le plus souvent possible en contact avec ce type de réalité.

Le pouvoir du SAR sur nos croyances et notre mode de vie

Sans toutefois aller jusque-là, on peut cependant reconnaître la place importante du SAR dans la façon dont nous construisons notre réalité. En effet, le SAR va sélectionner – et ne porter à notre conscience – que les informations fidèles à nos croyances.

Cela veut dire que, selon ce en quoi tu crois, selon ce qui est important pour toi, le SAR y prêtera une attention particulière. Et il se concentrera dessus pour filtrer les informations qui arrivent à ton cerveau.

En comprenant cela, tu saisis encore plus l’importance d’accorder ton attention et de nourrir tes émotions concernant les objectifs que tu souhaites atteindre, les scénarios que tu aimerais vivre, plutôt que sur la frustration de ne pas les avoir encore atteints.

Les souvenirs : l’info du SRAA est envoyée vers le noyau amygdalien (au niveau des tempes).

Ces infos vont recevoir 1 charge émotionnelle (souvent la peur), hippocampe qui va analyser les infos avec celles stockées dans la mémoire à LT----- présentation au cortex préfrontal gauche ------pour analyse--------stockage dans la mémoire à LT

Reprogrammer son cerveau pour une vie plus douce

Le SAR va donc confirmer et renforcer nos croyances et nos pensées. Cela peut nous convenir ou pas. Puisqu’il nous envoie les informations qui vont dans le sens de ce que l’on croit, eh bien on pense avoir raison et on continue dans la voie initialement choisie…

  • Ainsi une personne :

  • Pense qu’elle n’arrivera pas à perdre du poids ne verra que les embûches 

  • Qui trouve que son boulot est nul ne verra que les mauvais côtés ;

  • Si nos croyances influencent la manière dont on perçoit la réalité (avec le concours du SAR), cela veut dire aussi qu’on peut les orienter dans la direction que l’on souhaite. Et ça change tout ! On peut alors décider, consciemment, de modifier petit à petit nos croyances et nos intérêts vers ce que l’on désire au fond de nous.

En prenant conscience de ce sur quoi ton attention est attirée, tu pourras prendre plus facilement conscience de ce que tu peux modifier pour atteindre tes objectifs.

Le cortex cingulaire antérieur
Une structure du cerveau qu’il présente comme une « machine à détecter du sens ». C’est elle qui nous permettrait de construire notre représentation du monde, mais aussi d’évaluer l’adéquation de nos actes avec nos valeurs et d’avoir des relations fructueuses avec les autres. 

Dans notre monde, rendu incertain par la compétition économique, la précarité et un avenir angoissant sur le plan écologique, le cortex cingulaire serait donc sans cesse en alerte, ce qui engendrerait de la détresse psychologique. Cette situation nous pousserait à consommer toujours plus de nourriture, de séries télévisées, de drogues, etc. pour « combler le striatum ». Un comportement qui alimenterait le cercle vicieux de la perte de sens. 

Il semble jouer un rôle dans une grande variété de fonctions autonomes comme la régulation de la pression artérielle et du rythme cardiaque, de fonctions cognitives, telles que l'anticipation de récompense, la prise de décision, l'empathie et l'émotion.

Le système d’activation réticulaire en bref

Un outil puissant…

Notre SRA est extrêmement puissant, car grâce à lui nous sommes beaucoup plus efficaces. Imaginez que nous devions analyser consciemment en détails tout ce que nous voyons et entendons pour en extraire ce qui nous intéresse vraiment, nous serions en burnout en fin de journée ! Le SRA le fait pour nous.

Mais…

Le problème c’est que le SRA n’a pas de moral, il ne fait pas la différence entre ce qui est bon pour moi et ce qui ne l’est pas. Si mon esprit est habité par des projets constructifs, des objectifs précis, mon SRA va m’aider à dépister toutes les opportunités qui m’aideront à atteindre mes objectifs. Par contre, si je suis préoccupé par tout ce qui ne pas, il va me montrer tout ce qui ne va pas autour de moi. Je vais voir des problèmes partout et plus je vais en voir, plus je vais leur donner de l’importance et plus… C’est le cercle vicieux.

Comment bien utiliser son SRA ?

Il suffit d’être attentif à ce que je tape dans mon moteur de recherche, à ce qui m’anime, à ce qui est important pour moi en redéfinissant ce que je veux réellement pour construire ma vie, ce qui me fait avancer, me donne de l’énergie, me permet d’être acteur de ma vie. 

 Exercices 

1/Le secret pour rester positif au quotidien : changer son intention régulièrement pour maintenir son énergie positive

Questions : 

- Sur quoi porter mon intention ?

- Quel domaine je pourrais porter mon intention pour être heureux, plus dynamique, plus motivé ???

2 /Transformer ses habitudes : nous avons tous des mauvaises habitudes ; pour les transformer utiliser 1 technique très efficace en 7 étapes :  

1/ prendre contact avec une chose que l’on sait faire

2/ éprouver la sensation bienfaisante que procure cette pensée. Augmenter la sensation avec le VAKOG : visuel, auditif, kinesthésique, olfactif, gustatif), élever la nouvelle émotion à une échelle de 0 à 10 

3/ quand vous êtes à 10/10 frottez le lobe de l’oreille droite. (En se touchant la peau, nous stimulons les neurotransmetteurs du bien-être)

4/ choisir le comportement ou l’habitude nouvelle à acquérir : de quoi aurais-je l’air avec cette nouvelle attitude

5/ se projeter dans cette vision avec les habitudes nouvelles en frottant le lobe de l’oreille

6/ quelle sensation cela me procure

7/si + comportement intégré neurologiquement donc la transformation se fera plus facilement sinon recommencer jusqu’à ce que la sensation soit bonne.

3/Coaching pour poser ses limites et exprimer ses besoins 

D description de la situation

E j’exprime mes limites et mes besoins

S je suggère

Conséquences positives 

4/LE SRAA 

Le SAR est un poste de commandement sophistiqué qui a accès aux informations intérieures et extérieures à notre corps. Il filtre, écoute nos émotions, déclenche des actions inconsciemment…

C’est fantastique car nous pouvons le programmer pour qu’il nous aide à atteindre nos objectifs.

Alors, prenez une feuille et imprégnez-vous de ce que vous VOULEZ ATTEINDRE. Imaginez, ressentez. Et choisissez consciencieusement vos croyances : vous vous croyez nul(le) ? le SAR vous apportera des preuves que c’est vrai…mais si vous croyez en vous, il en fera autant et vous serez motivé !

Comment détourner le SRAA

Avec des phases positives car le SRAA va s’aligner pour percevoir le bon côté de la situation et toutes les situations possibles

Comment programmer son SRAA

Changer ses phrases :

EX : je n’aime pas les gens malhonnêtes---- j’aime les gens honnêtes : le SRAA va se fixer sur le mot « malhonnête » et vous sortez de votre champ de vision les personnes honnêtes.

Je suis RAVI= remerciement- affirmation-visualisation- intention

5/Comment modifier une croyance : 

Une croyance peut être modifiée en changeant les sous -modalités :

  • La perception : voir les choses en couleur ou en noir et blanc

  • L’audition : augmenter ou diminuer l’intensité d’une conversation, couper le son

  • Visuel : augmenter ou diminuer l’image d’un écran, brouiller les images

Sélectionner 10 croyances dans chaque domaine de vie. Quelles sont les croyances en action dans votre vie, quels sont les ressentis, vos pensées. Comment je justifie cette croyance, sur quoi je crois avoir raison. Quels sont les bénéfices secondaires.

Quels sont les domaines de vie qui n’ont pas changé depuis 1an. Pourquoi ? Quelles sont les croyances ?

Mettre 3 croyances positives 

Que ferait une personne qui aurait ces 3 croyances 

Quelles sont les actions que tu vas mettre en place et transposer dans ta réalité.

A savoir

Les 3 filtres de Socrate pour ne pas être polluer :

Un élève dit à son professeur : j’ai des nouvelles de quelqu’un que vous connaissez mais elles ne vont pas vous faire plaisir.

Passage des 3 filtres

  • Est-ce que tu veux me dire est vrai ?

  • Est-ce que cela a quelque chose d’utile ? A m’apprendre ?

  • Est-ce que ce que tu vas me dire est agréable ?

Conclusion : si ce n’est pas vrai, inutile, désagréable, ce n’est pas la peine de m’en parler

Se faire respecter dans une relation

1/ exprimer ce que la personne a comme impact sur nous

2/exprimer ses besoins et ce que l’on souhaite

3/ toutes les réflexions doivent tendre vers cela sinon prendre une décision favorable pour soi.

Distinguer « je veux » et je suis 

Je « veux » signifie que je ne l’ai pas, j’en suis séparé- notion de manque 

CONCLUSION 

Nous sommes générateurs de notre succès : Prendre conscience de

  • La fonction du SRAA et contrôler nos mots, nos pensées.

  • De nos croyances et les noter

  • De nos valeurs importantes et les noter 

  • De nos besoins et en prendre soin.

Le problème c’est notre ego. Quand les personnes surréagissent, c’est que tu touches une ombre. L’ego peut-être notre serviteur ou notre dominateur. A nous de choisir.

Quand on accuse les autres, que l’on trouve des excuses, je suis dans le déni. C’est de l’ego.

Il filtre ce que nous voulons voir et s’auto-programme, s’auto convainc. Il crée sa réalité et se justifie en trouvant la lecture, la personne, l’argument qui le maintien. La meilleure thérapie est la relation humaine.

Patricia MARCHAL

Sophrologue caycédien-master coach